Pour ne pas oublier

Jean, le mineur En 1954, le salaire journalier était de 315 francs. Pour les ouvriers qui pratiquaient l'ouverture des voies, le salaire était de 305, 38 francs. Pour les ouvriers de fausses voies, il était de 210,70 francs Mais il se peut que dans d'autres charbonnages, dans d'autres sociétés, les salaires étaient plus élevés au … Lire la suite Pour ne pas oublier

Toujours à propos des salaires.

Les coupeurs de fausses voies gagnaient de 210 à 220 francs par jour. À la fin de ce poste, il ne reste plus qu'une havée de libre avec les tôles sur le mur pour faciliter la descente du charbon. Le matin, chaque ouvrier abatteur se dépêchait de faire un trou dans la veine pour être … Lire la suite Toujours à propos des salaires.

Le travail reprendra rapidement.

Les parents sont au chevet d’Yvon Nous étions le dimanche 14 mai 1950 vers 9h. Un membre de la même famille venait nous remplacer. Notre frère Yvon avait toujours une personne de la famille auprès de lui de jour comme de nuit pendant ses 5 semaines d'hospitalisation car il réclamait sans cesse à boire (10 … Lire la suite Le travail reprendra rapidement.

Retour au puits n° 6 de Trazegnies.

Les prisonniers de guerre allemands doivent aller travailler dans la mine. Jean poursuit son récit : « À 9 heures, nous les regardions. Ils avaient un petit bout de pain. Nous étions une dizaine d'hommes et parmi nous, trois Allemands qui nous regardaient sans rien dire. Voilà que l'aîné d’entre nous, Fernand suivi de Léon se levèrent … Lire la suite Retour au puits n° 6 de Trazegnies.

Jean le mineur (suite)

Verrerie Fourcault où l’on emprisonna beaucoup d’inciviques en attendant leur jugementRappel : « On venait d'annoncer à Jean le mineur que des inciviques allaient venir travailler dans la mine. « Jean continue son récit.Je revenais au puits avec le train vers 7h car les inciviques venaient 1 h plus tard que les ouvriers de la … Lire la suite Jean le mineur (suite)

Mineur, un métier dangereux.

Charbonnage de Beringen Nous devions réparer et nettoyer les blocs du camp pour loger les armées libératrices. Mon frère Pierre s'était engagé dans l'armée belge, dans la brigade Yser. Auguste était parti rejoindre la famille à Courcelles et moi, j’ai travaillé deux mois dans le camp. Comme je ne m’y plaisais pas, je suis retourné … Lire la suite Mineur, un métier dangereux.

Mineur de fond : un métier harassant, dangereux

Nous voilà arrivés en 1944, un fort convoi de prisonniers russes arriva à Beringen. On les fit descendre au fond et chaque Belge fut accompagné de 5 prisonniers. On nous avait envoyé dans une taille de 1 m 50 d'ouverture qui avait été préparée pour mettre les prisonniers au travail. Nous devions veiller à leur … Lire la suite Mineur de fond : un métier harassant, dangereux